B—MOITESSIER
DES YEUX
—QUI NE
VOIENT PAS
ÉDITION
REVUE L’INCROYABLE N°3
NOV 2019












L’INCROYABLE NICOLE EISENMAN • revue collective
190 mm x 260 mm | 184 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
This issue is the seconde volume of an American triology. After Jim Shaw, we are now diving into the youth of Nicole Eisenman in the 1980’s in New York. Nicole Eisenman and a number of guests bring up: high-school life, coming out, first gay encounters, comic books, Zippy the Pinhead, Julie Doucet, Charles Burns, Howard Cruse and RAW magazine, fanzines, figurative painting as formalist and feminist strategy, dripping bodies, enjoying bad taste, club nights with RuPaul, Lady Bunny, Blacklips Performance Cult, the 3 Teens Kill 4, Billy Idol’s herpes, transvestites dressed as bats, Kathy Acker, Eileen Myles and Laurie Weeks’ books, aids and how the Reagan and Bush-1 administration gave up on thousands of women and men who died out within months, amongst them friends and acquaintances of Elisabeth Lebovici, Dennis Cooper, Sarah Schulman, Eileen Myles, A.L. Steiner, art and activism, the rise of queer studies in American Universities, and the violence of gentrification in New York, shattering the world of young Nicole Eisenman.
190 mm x 260 mm | 184 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Edito + entretien avec Nicole Eisenman • https://www.calameo.com/books/00634376511f5b29d3669
Entretien avec Elisabeth Lebovici • https://www.calameo.com/books/006343765ed99bb5666e0
Edito + entretien avec Nicole Eisenman • https://www.calameo.com/books/00634376511f5b29d3669
Entretien avec Elisabeth Lebovici • https://www.calameo.com/books/006343765ed99bb5666e0
This issue is the seconde volume of an American triology. After Jim Shaw, we are now diving into the youth of Nicole Eisenman in the 1980’s in New York. Nicole Eisenman and a number of guests bring up: high-school life, coming out, first gay encounters, comic books, Zippy the Pinhead, Julie Doucet, Charles Burns, Howard Cruse and RAW magazine, fanzines, figurative painting as formalist and feminist strategy, dripping bodies, enjoying bad taste, club nights with RuPaul, Lady Bunny, Blacklips Performance Cult, the 3 Teens Kill 4, Billy Idol’s herpes, transvestites dressed as bats, Kathy Acker, Eileen Myles and Laurie Weeks’ books, aids and how the Reagan and Bush-1 administration gave up on thousands of women and men who died out within months, amongst them friends and acquaintances of Elisabeth Lebovici, Dennis Cooper, Sarah Schulman, Eileen Myles, A.L. Steiner, art and activism, the rise of queer studies in American Universities, and the violence of gentrification in New York, shattering the world of young Nicole Eisenman.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Jean-Philippe Bretin | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Ryan McNamara | Contributions • Kathy Acker, Isabelle Alfonsi, Julia Bryan-Wilson, Martin Duberman, Camille Cornu, le collectif De-Evolutionary Times, le collectif Dirty Looks, Claire Finch, Allen Ginsberg, Mathilde Helleu, Yves-Alexandre Jaquier, Alice Gavin, Émeline Jaret, Eileen Myles, Émilie Notéris, Craig Owens, Charles Recoursé, Adrienne Rich, Jérôme Schmidt, Gaëtan Thomas, Nicola Tyson, Nicholas de Villiers, Clotilde Viannay, Zoe Whittall et Etaïnn Zwer, A2/act up Paris, Judith Barry, Victor Burgin, Dennis Cooper, Colab, Howard Cruse, Nicole Eisenman, fierce pussy, Leonard Fink & S.T.A.R, Romain Lamy, Félicité Landrivon, Ryan McNamara, Tom Rubnitz, Wanda Rivière & Louise Siffert, Leon Sadler, John Sloan, A. L. Steiner, Sammy Stein, Amy Sillman, Philippe Thomas, Nicola Tyson, Mary Kelly, Sylvia Kolbowski, Melek Zertal.
ART
WATCHMEN
PALAIS DE TOKYO | 2011





WHO WATCH THE WATCHMEN • installation
Journal NYT fictif, sculptures, tableau impression sur soie, série de print, vidéo
Projet de fiction uchronique qui se construit autour du comics culte d’Alan Moore The Watchmen. Sous la forme d’articles de presse (politique, économique, société, sport, art, architecture, musique) ce New York Times fictif revisite l’histoire du monde avec en postulat de départ : en quoi le monde changerait s’il existait un seul et unique homme pourvu de super-pouvoirs ?
L’histoire des Watchmen se déroule en 1985, dans une uchronie où des super-héros ayant cessé leur activité de justiciers semblent disparaître un à un, alors que la Troisième Guerre mondiale menace d’éclater à tout moment avec le bloc de l’Est. L’apparition en 1959 du Dr. Manhattan, un surhomme doté de pouvoirs en faisant presque l’égal d’un dieu, a modifié l’histoire que nous connaissons : les États-Unis ont gagné la guerre du Viêt-Nam, le scandale du Watergate a été étouffé, le pétrole n’est plus une des principales sources d’énergie, et Richard Nixon est toujours président en 1985.
W | NEW YORK TIMES UCHRONIQUE • vue d’exposition
sculpture, impression sous rotatives | 331,5 × 540,9 mm | 12 p. | n&b | 1 500 exemplaires | Photo • Fabrice Gousset.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Thomas Bizzarri | Traduction vers l’américain • Jonathan von Zelowitz & Philippe Aronson | Contributions • François Delvoye, Robert Juan-Cantavella, Jacques Barbéri, Oliver Rohe, Maud Assila, Eloy Fernández Porta, Philippe Vasset, Caroline Soyez-Petithomme, Julien Fronsacq, Philippe Berneur, Jill Gasparina, Ariel Kyrou, Émilie Notéris, Julien Millanvoye, Philippe Aronson, Nicolas Richard, Thomas Pynchon, Renaud Pasquier, Mathieu Andrieu, Florence Ostende, Mathieu Larnaudie, Yves Ramonet, Lila Pinell, Frédéric Hallier, Audrey Prudhomme, Raphaël Garnier, Gaëlle Boucand, Aline Zalko, Maxime Zoffoli, Yann Legendre, Mathieu Andrieu, Joan Braun & Ward Ivan Rafik, Jagna Ciuchta.
Module du palais de Tokyo, invitation de Julien Fronsacq.
Journal NYT fictif, sculptures, tableau impression sur soie, série de print, vidéo
Projet de fiction uchronique qui se construit autour du comics culte d’Alan Moore The Watchmen. Sous la forme d’articles de presse (politique, économique, société, sport, art, architecture, musique) ce New York Times fictif revisite l’histoire du monde avec en postulat de départ : en quoi le monde changerait s’il existait un seul et unique homme pourvu de super-pouvoirs ?
L’histoire des Watchmen se déroule en 1985, dans une uchronie où des super-héros ayant cessé leur activité de justiciers semblent disparaître un à un, alors que la Troisième Guerre mondiale menace d’éclater à tout moment avec le bloc de l’Est. L’apparition en 1959 du Dr. Manhattan, un surhomme doté de pouvoirs en faisant presque l’égal d’un dieu, a modifié l’histoire que nous connaissons : les États-Unis ont gagné la guerre du Viêt-Nam, le scandale du Watergate a été étouffé, le pétrole n’est plus une des principales sources d’énergie, et Richard Nixon est toujours président en 1985.
W | NEW YORK TIMES UCHRONIQUE • vue d’exposition
sculpture, impression sous rotatives | 331,5 × 540,9 mm | 12 p. | n&b | 1 500 exemplaires | Photo • Fabrice Gousset.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Thomas Bizzarri | Traduction vers l’américain • Jonathan von Zelowitz & Philippe Aronson | Contributions • François Delvoye, Robert Juan-Cantavella, Jacques Barbéri, Oliver Rohe, Maud Assila, Eloy Fernández Porta, Philippe Vasset, Caroline Soyez-Petithomme, Julien Fronsacq, Philippe Berneur, Jill Gasparina, Ariel Kyrou, Émilie Notéris, Julien Millanvoye, Philippe Aronson, Nicolas Richard, Thomas Pynchon, Renaud Pasquier, Mathieu Andrieu, Florence Ostende, Mathieu Larnaudie, Yves Ramonet, Lila Pinell, Frédéric Hallier, Audrey Prudhomme, Raphaël Garnier, Gaëlle Boucand, Aline Zalko, Maxime Zoffoli, Yann Legendre, Mathieu Andrieu, Joan Braun & Ward Ivan Rafik, Jagna Ciuchta.
Module du palais de Tokyo, invitation de Julien Fronsacq.
ART
WATCHMEN
PALAIS DE TOKYO | 2011


TÊTE DE DR MANHATTAN, silicone peint, verre, velour, socle en bois, vitrine ancienne, 2011.
COMÉDIEN, DATE INCONNUE, masque en osier dans sa boite sous vitrine, 2011.
ART
WATCHMEN
PALAIS DE TOKYO | 2011



ADOPTE UN AMI, 2'50 couleur avec son (loop), animation, transfert sur DVD, 2011.
RORSCHACH FOSSILISÉ, crâne en plâtre, Mars Mud séché, yeux en plastique, vitrine, socle en bois, 2011.
MASQUE FRAGMENTAIRE DU HIBOU, fragment d'un masque de la guerre 1914-18, socle, 2011.
MASQUE FRAGMENTAIRE DU HIBOU, fragment d'un masque de la guerre 1914-18, socle, 2011.
ÉDITION
MINI N°1
2017





LES INCROYABLE A. DELLA NEGRA & K. KINOSHITA • livre
92 × 170 mm | 124 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
La collection Les mini est le prolongement naturel de la revue L’Incroyable. Chaque livre se plonge dans la jeunesse d’artistes à travers un entretien autour de leur adolescence.
La réalisatrice Kaori Kinoshita fait le récit des changements sociétaux qu’a connus le Japon dans les années 1990, des traditions ancestrales à la modernité technologique, de la pleine croissance à la bulle spéculative, provoquant un sentiment de ce qu’elle nomme « une solitude contemporaine » chez nombre de Japonais de sa génération. En 1973, les parents d’Alain Della Negra décident de couper avec la vie parisienne alors qu’il est âgé de deux ans pour vivre en autarcie dans une communauté Steiner créée avec d’autres familles à la Mhotte. La mission dont ses parents se sentent investis les occupe à plein temps et le jeune homme se construit avec une bande d’amis, joyeux trouble-fêtes de la vie tranquille du village.
92 × 170 mm | 124 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Extrait de l’entretien avec Alain Della Negra • https://www.calameo.com/books/0063437657253a78c8d7d
Extrait de l’entretien avec Kaori Kinoshita • https://www.calameo.com/books/0063437659d7d0f511a86
Extrait de l’entretien avec Alain Della Negra • https://www.calameo.com/books/0063437657253a78c8d7d
Extrait de l’entretien avec Kaori Kinoshita • https://www.calameo.com/books/0063437659d7d0f511a86
La collection Les mini est le prolongement naturel de la revue L’Incroyable. Chaque livre se plonge dans la jeunesse d’artistes à travers un entretien autour de leur adolescence.
La réalisatrice Kaori Kinoshita fait le récit des changements sociétaux qu’a connus le Japon dans les années 1990, des traditions ancestrales à la modernité technologique, de la pleine croissance à la bulle spéculative, provoquant un sentiment de ce qu’elle nomme « une solitude contemporaine » chez nombre de Japonais de sa génération. En 1973, les parents d’Alain Della Negra décident de couper avec la vie parisienne alors qu’il est âgé de deux ans pour vivre en autarcie dans une communauté Steiner créée avec d’autres familles à la Mhotte. La mission dont ses parents se sentent investis les occupe à plein temps et le jeune homme se construit avec une bande d’amis, joyeux trouble-fêtes de la vie tranquille du village.
Entretiens • Clotilde Viannay | Préface • Philippe Vasset | Maquette originale • groupe CCC | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Images • pp.30-31, 72-73 © Alain Della Negra & Kaori Kinoshita et p.53 © Simon Pasieka
ÉDITION
REVUE L’INCROYABLE N°2
2016














L’INCROYABLE JIM SHAW • revue collective
190 mm x 260 mm | 168 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
L’incroyable n°2 change de décor et part aux États-Unis de 1960 à 1976 avec Jim Shaw. L’artiste américain grandit dans le Michigan dans les années 1960. L’Amérique est très conservatrice. L’accomplissement de l’homme passe par l’argent, sa voiture et son costume trois pièces. Les femmes s’occupent du foyer. Les communautés hippies représentent une alternative pour les jeunes qui entrevoient toute la frustration des vies étriquées de leurs parents. Pour les garçons la peur de la guerre du Vietnam motive aussi l’envie de fuguer. Certains n’ont pas quatorze ans lorsqu’ils partent en Californie. Ces communautés hippies sont elle aussi très patriarcales, des hommes un peu «gourou» les dirigent et s’entourent d’un harem de jeunes filles sous prétexte d’amour libre. Les femmes nettoient, préparent la nourriture et élèvent les enfants tout comme le faisaient leurs mères. Mais ces jeunes vivent dans la nature, cultivent leur propre nourriture et expérimentent le LSD et l’héroïne. Ces drogues sont des chocs perceptifs qui vont emmener certains à la révolution artistique qu’est la contre-culture, d’autres s’y perdront quelques temps et rejoindront les premières sectes évangélistes qui apparaissent à l’époque. Ils renoueront avec leur éducation religieuse d’enfance pour renaître nouveau chrétien (Born Again) avant de devenir comme leurs parents.
190 mm x 260 mm | 168 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Entretien avec Jim Shaw • https://www.calameo.com/books/006343765bb55ecf57b53
Entretien avec Jim Shaw • https://www.calameo.com/books/006343765bb55ecf57b53
L’incroyable n°2 change de décor et part aux États-Unis de 1960 à 1976 avec Jim Shaw. L’artiste américain grandit dans le Michigan dans les années 1960. L’Amérique est très conservatrice. L’accomplissement de l’homme passe par l’argent, sa voiture et son costume trois pièces. Les femmes s’occupent du foyer. Les communautés hippies représentent une alternative pour les jeunes qui entrevoient toute la frustration des vies étriquées de leurs parents. Pour les garçons la peur de la guerre du Vietnam motive aussi l’envie de fuguer. Certains n’ont pas quatorze ans lorsqu’ils partent en Californie. Ces communautés hippies sont elle aussi très patriarcales, des hommes un peu «gourou» les dirigent et s’entourent d’un harem de jeunes filles sous prétexte d’amour libre. Les femmes nettoient, préparent la nourriture et élèvent les enfants tout comme le faisaient leurs mères. Mais ces jeunes vivent dans la nature, cultivent leur propre nourriture et expérimentent le LSD et l’héroïne. Ces drogues sont des chocs perceptifs qui vont emmener certains à la révolution artistique qu’est la contre-culture, d’autres s’y perdront quelques temps et rejoindront les premières sectes évangélistes qui apparaissent à l’époque. Ils renoueront avec leur éducation religieuse d’enfance pour renaître nouveau chrétien (Born Again) avant de devenir comme leurs parents.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Thomas Bizzarri assisté par My-Lan Hoang-Thuy | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Mathilde Agius | Contributions • Philippe Aronson, Jacques Barbéri et Yves Ramonet, Claire Barliant, Laura Ben Hayoun, Mathieu Buard, Robert Buchard, Laurent Courau, Michel Croce Spinelli et Michel Parbot, Jill Gasparina, Étienne Greig, Doug Harvey, Yves-Alexandre Jaquier, Cary Loren, Alex Mar, Robert Somma, Philippe Vasset, Clotilde Viannay, Mathilde Agius, Bertrand Dezoteux, Joan Braun, Golgotha, groupe CCC - Alice Gavin et Valentin Bigel et les élèves du DSAA mode - image, média et éditoriales de l’école Duperré, Jérémy Piningre, Jim Shaw et Pierre Vanni.
ART
DU RÉSEAU DANS LE TERRARIUM
MGCP | 2010


DU RÉSEAU DANS LE TERRARIUM • installation
Environnement pour escargots | Escargots, wall painting, terreau, gravier, rochers, arbres morts, parpaings, plantes, trains électriques, circuit, bois, vidéos, dimensions variables.
Film • texte déroulant © Émilie Notéris.
Cette pièce montre comment la nature, les discours politiques et la société sont des sphères qui interagissent ensemble sur le territoire. Rompant avec la linéarité engendrée par une métrique où chaque point est hiérarchisé dans un rapport subordonné aux autres, les sphères permettent de lier ensemble local et global, humains et non-humains, nature et politique... Parce qu'elles dépassent le point de subjectivité que l'éthologue Jacob Von Uexkull utilisait, notamment en étudiant le monde des gastéropodes, pour décrire le passage d'un monde objectif, à un monde subjectif, les sphères confondent l'entourage et le milieu dans une même image du territoire.
Dans le terrarium les escargots se révoltent. Le mollusque a une vie dangereuse, ses prédateurs sont nombreux. Croqué par des petits rongeurs, écrasé par des hommes ou asphyxié par les pluies et les terres polluées, son espérance de vie est courte. C'est devant une bannière aux couleurs du communisme que le gastéropode se lance à la conquête de son monde.
Un thriller pour escargot met en scène le mollusque dans des scènes d'amour, de sustentations et de drame, au moment de la rencontre avec un hérisson affamé.
Water Walk, exposition collective, invitation de Martine Michard, Maison des Arts Georges et Claude Pompidou 2010.
Environnement pour escargots | Escargots, wall painting, terreau, gravier, rochers, arbres morts, parpaings, plantes, trains électriques, circuit, bois, vidéos, dimensions variables.
Film • texte déroulant © Émilie Notéris.
Cette pièce montre comment la nature, les discours politiques et la société sont des sphères qui interagissent ensemble sur le territoire. Rompant avec la linéarité engendrée par une métrique où chaque point est hiérarchisé dans un rapport subordonné aux autres, les sphères permettent de lier ensemble local et global, humains et non-humains, nature et politique... Parce qu'elles dépassent le point de subjectivité que l'éthologue Jacob Von Uexkull utilisait, notamment en étudiant le monde des gastéropodes, pour décrire le passage d'un monde objectif, à un monde subjectif, les sphères confondent l'entourage et le milieu dans une même image du territoire.
Dans le terrarium les escargots se révoltent. Le mollusque a une vie dangereuse, ses prédateurs sont nombreux. Croqué par des petits rongeurs, écrasé par des hommes ou asphyxié par les pluies et les terres polluées, son espérance de vie est courte. C'est devant une bannière aux couleurs du communisme que le gastéropode se lance à la conquête de son monde.
Un thriller pour escargot met en scène le mollusque dans des scènes d'amour, de sustentations et de drame, au moment de la rencontre avec un hérisson affamé.
Water Walk, exposition collective, invitation de Martine Michard, Maison des Arts Georges et Claude Pompidou 2010.
ART
CELUI QUI EST NÉ HIER...
PRINTEMPS DE SEPTEMBRE | 2004

















CELUI QUI EST NÉ HIER MEURT AUJOURD’HUI • installation
Imprimante, système informatique, socle, 2 147 prints couleurs.
Cette pièce tente d'exhumer les 2 147 objets mésopotamiens du musée archéologique de Bagdad disparus ou détruits lors de la seconde guerre en Irak (objets répertoriés par Interpol en septembre 2004). Une imprimante posée sur un socle imprime toutes les 1'46 les images des objets au recto et leur descriptif au verso. Les feuilles tombent ensuite sur le sol. Chacune des oeuvres est imprimée une fois, au bout de 3 793 minutes l'action fait place à un silence.
Ce projet a été réalisé avec l’aide de George Donny, directeur du musée de Bagdad, John Simmons, représentant américain à la reconstruction du musée, Interpol et le FBI.
Commande du centre national des arts plastiques, Paris.
In Extremis, Printemps de Septembre, Toulouse, invitation de Jean-Marc Bustamante & Pascal Picque.
Imprimante, système informatique, socle, 2 147 prints couleurs.
Cette pièce tente d'exhumer les 2 147 objets mésopotamiens du musée archéologique de Bagdad disparus ou détruits lors de la seconde guerre en Irak (objets répertoriés par Interpol en septembre 2004). Une imprimante posée sur un socle imprime toutes les 1'46 les images des objets au recto et leur descriptif au verso. Les feuilles tombent ensuite sur le sol. Chacune des oeuvres est imprimée une fois, au bout de 3 793 minutes l'action fait place à un silence.
Ce projet a été réalisé avec l’aide de George Donny, directeur du musée de Bagdad, John Simmons, représentant américain à la reconstruction du musée, Interpol et le FBI.
Commande du centre national des arts plastiques, Paris.
In Extremis, Printemps de Septembre, Toulouse, invitation de Jean-Marc Bustamante & Pascal Picque.
ART
LA NOUVELLE ASCHGABAT
LA FORCE DE L’ART | 2006





DU RÉSEAU DANS LE TERRARIUM • installation
Plan dessiné tiré sur papier affiche marouflé au mur (500 × 250 cm), 6 impressions n&b de représentations 3D d'architectures d'Ashgabat posés sur aluminium (60 × 46cm / 100 × 46cm), photo montage encadré (180 × 100cm), table basse, livres, ordinateur, repose-pieds, TV, interview TF1 (40'), lecteur DVD , étagères, Flyers.
Dessins 3D • © Mathieu Andrieu.
Le projet La nouvelle Ashgabat dresse les contours de l'Ashgabat contemporaine. Ashgabat — la capitale du Turkménistan — a subi en octobre 1948 un tremblement de terre dévastateur qui a détruit la plupart des édifices. La phase de reconstruction de la ville, réalisée selon des conceptions urbanistiques modernes, rejoint en fait l'archétype d'une ville soviétique. La capitale turkmène est devenue un parc à thème stalinien, avec ses palais présidentiels, ses sculptures à la gloire du dictateur et sa poignée d'hôtels de luxe. Ce dispositif fait état des importants enjeux économiques internationaux qui se jouent autour de cette reconstruction. Les pays occidentaux n'hésitent pas à pactiser avec Saparmourat Niyazov, le cruel dictateur du Turkménistan, pour aider la signature de gros contrats. En 1996, le PDG de TF1 et le PDG de Bouygues Construction mettent en scène un simulacre d'émission, afin de conclure de gros contrats entre Saparmourat Niyazov et quatre entreprises françaises. Jean-Claude Narcy, journaliste de TF1, y interviewe le président turkmène et les quatre dirigeants français, sur un plateau monté pour l'occasion. Ne correspondant à aucune émission existante, cette fausse couverture médiatique a été diffusée en boucle pendant plusieurs mois sur les chaînes turkmènes, à la gloire de Saparmourat Niyazov, « l'homme adulé par le monde entier ». En France, la cassette restera dans les tiroirs de TF1, mais aura permis de concrétiser d'énormes contrats avec les entreprises associés à cette mise en scène médiatique.
La Force de l'Art, exposition collective, invitation de Hou Hanrou, Le Grand Palais, 2006.
Plan dessiné tiré sur papier affiche marouflé au mur (500 × 250 cm), 6 impressions n&b de représentations 3D d'architectures d'Ashgabat posés sur aluminium (60 × 46cm / 100 × 46cm), photo montage encadré (180 × 100cm), table basse, livres, ordinateur, repose-pieds, TV, interview TF1 (40'), lecteur DVD , étagères, Flyers.
Dessins 3D • © Mathieu Andrieu.
Le projet La nouvelle Ashgabat dresse les contours de l'Ashgabat contemporaine. Ashgabat — la capitale du Turkménistan — a subi en octobre 1948 un tremblement de terre dévastateur qui a détruit la plupart des édifices. La phase de reconstruction de la ville, réalisée selon des conceptions urbanistiques modernes, rejoint en fait l'archétype d'une ville soviétique. La capitale turkmène est devenue un parc à thème stalinien, avec ses palais présidentiels, ses sculptures à la gloire du dictateur et sa poignée d'hôtels de luxe. Ce dispositif fait état des importants enjeux économiques internationaux qui se jouent autour de cette reconstruction. Les pays occidentaux n'hésitent pas à pactiser avec Saparmourat Niyazov, le cruel dictateur du Turkménistan, pour aider la signature de gros contrats. En 1996, le PDG de TF1 et le PDG de Bouygues Construction mettent en scène un simulacre d'émission, afin de conclure de gros contrats entre Saparmourat Niyazov et quatre entreprises françaises. Jean-Claude Narcy, journaliste de TF1, y interviewe le président turkmène et les quatre dirigeants français, sur un plateau monté pour l'occasion. Ne correspondant à aucune émission existante, cette fausse couverture médiatique a été diffusée en boucle pendant plusieurs mois sur les chaînes turkmènes, à la gloire de Saparmourat Niyazov, « l'homme adulé par le monde entier ». En France, la cassette restera dans les tiroirs de TF1, mais aura permis de concrétiser d'énormes contrats avec les entreprises associés à cette mise en scène médiatique.
La Force de l'Art, exposition collective, invitation de Hou Hanrou, Le Grand Palais, 2006.
ART
LA NOUVELLE ASCHGABAT
LA FORCE DE L’ART | 2006





Vidéo, simulacre d’émission de TF1 animée par Jean-Claude Narcy avec le dictateur du Turkménistan, Martin Bouygues, Patrick Le Lay (TF1), Pierre Gadonneix (GDF) et Jacques Rocher-Machart (EDF).
RUHNAMA, livre écrit par Saparmourat Niyazov, l’ancien président du Turkménistan aujourd’hui décédé, 4 exemplaires en 5 versions : turkmène, français, anglais, allemand et turque.
ÉDITION
REVUE L’INCROYABLE N°1
2015









L’INCROYABLE JULIETTE GRÉCO • revue collective
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Entretien avec Juliette Gréco • https://www.calameo.com/books/0063437650aff6d8e74ef
Entretien avec Juliette Gréco • https://www.calameo.com/books/0063437650aff6d8e74ef
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Raphaël Garnier | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Philippe Jarrigeon | Contributions •
Philippe Aronson, Maud Assila, Jacques Barbéri, Anne-Marie Cazalis et Jacques Robert, Jill Gasparina, Juliette Gréco, Frédéric Joignot, Axelle Montrieux, Smaranda Olcèse, Victoire Orwar, Lila Pinell et Chloé Maillet, Yves Ramonet, Jérôme Schmidt, Clotilde Viannay, Boris Vian,Jean André, Renan Astier, Joan Braun, Marc Domage, Georges Dudognon, Golgotha, Viktor Hachmang, Philippe Jarrigeon et Aline Zalko
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ART
REVUE L’INCROYABLE N°1
2015

L’INCROYABLE JULIETTE GRÉCO • revue collective
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Entretien avec Juliette Gréco • https://www.calameo.com/books/0063437650aff6d8e74ef
Entretien avec Juliette Gréco • https://www.calameo.com/books/0063437650aff6d8e74ef
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Raphaël Garnier | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Philippe Jarrigeon | Contributions •
Philippe Aronson, Maud Assila, Jacques Barbéri, Anne-Marie Cazalis et Jacques Robert, Jill Gasparina, Juliette Gréco, Frédéric Joignot, Axelle Montrieux, Smaranda Olcèse, Victoire Orwar, Lila Pinell et Chloé Maillet, Yves Ramonet, Jérôme Schmidt, Clotilde Viannay, Boris Vian,Jean André, Renan Astier, Joan Braun, Marc Domage, Georges Dudognon, Golgotha, Viktor Hachmang, Philippe Jarrigeon et Aline Zalko
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STRIP
ZAID
2018

ART
REVUE L’INCROYABLE N°1
2015

L’INCROYABLE JULIETTE GRÉCO • revue collective
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
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L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
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2015

L’INCROYABLE JULIETTE GRÉCO • revue collective
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
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L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
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Philippe Aronson, Maud Assila, Jacques Barbéri, Anne-Marie Cazalis et Jacques Robert, Jill Gasparina, Juliette Gréco, Frédéric Joignot, Axelle Montrieux, Smaranda Olcèse, Victoire Orwar, Lila Pinell et Chloé Maillet, Yves Ramonet, Jérôme Schmidt, Clotilde Viannay, Boris Vian,Jean André, Renan Astier, Joan Braun, Marc Domage, Georges Dudognon, Golgotha, Viktor Hachmang, Philippe Jarrigeon et Aline Zalko
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Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Raphaël Garnier | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Philippe Jarrigeon | Contributions •
Philippe Aronson, Maud Assila, Jacques Barbéri, Anne-Marie Cazalis et Jacques Robert, Jill Gasparina, Juliette Gréco, Frédéric Joignot, Axelle Montrieux, Smaranda Olcèse, Victoire Orwar, Lila Pinell et Chloé Maillet, Yves Ramonet, Jérôme Schmidt, Clotilde Viannay, Boris Vian,Jean André, Renan Astier, Joan Braun, Marc Domage, Georges Dudognon, Golgotha, Viktor Hachmang, Philippe Jarrigeon et Aline Zalko
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