REVUE L’INCROYABLE N°3
2019











L’INCROYABLE NICOLE EISENMAN • revue collective
190 mm x 260 mm | 184 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
This issue is the seconde volume of an American triology. After Jim Shaw, we are now diving into the youth of Nicole Eisenman in the 1980’s in New York. Nicole Eisenman and a number of guests bring up: high-school life, coming out, first gay encounters, comic books, Zippy the Pinhead, Julie Doucet, Charles Burns, Howard Cruse and RAW magazine, fanzines, figurative painting as formalist and feminist strategy, dripping bodies, enjoying bad taste, club nights with RuPaul, Lady Bunny, Blacklips Performance Cult, the 3 Teens Kill 4, Billy Idol’s herpes, transvestites dressed as bats, Kathy Acker, Eileen Myles and Laurie Weeks’ books, aids and how the Reagan and Bush-1 administration gave up on thousands of women and men who died out within months, amongst them friends and acquaintances of Elisabeth Lebovici, Dennis Cooper, Sarah Schulman, Eileen Myles, A.L. Steiner, art and activism, the rise of queer studies in American Universities, and the violence of gentrification in New York, shattering the world of young Nicole Eisenman.
190 mm x 260 mm | 184 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Edito + entretien avec Nicole Eisenman • https://www.calameo.com/books/00634376511f5b29d3669
Entretien avec Elisabeth Lebovici • https://www.calameo.com/books/006343765ed99bb5666e0
Edito + entretien avec Nicole Eisenman • https://www.calameo.com/books/00634376511f5b29d3669
Entretien avec Elisabeth Lebovici • https://www.calameo.com/books/006343765ed99bb5666e0
This issue is the seconde volume of an American triology. After Jim Shaw, we are now diving into the youth of Nicole Eisenman in the 1980’s in New York. Nicole Eisenman and a number of guests bring up: high-school life, coming out, first gay encounters, comic books, Zippy the Pinhead, Julie Doucet, Charles Burns, Howard Cruse and RAW magazine, fanzines, figurative painting as formalist and feminist strategy, dripping bodies, enjoying bad taste, club nights with RuPaul, Lady Bunny, Blacklips Performance Cult, the 3 Teens Kill 4, Billy Idol’s herpes, transvestites dressed as bats, Kathy Acker, Eileen Myles and Laurie Weeks’ books, aids and how the Reagan and Bush-1 administration gave up on thousands of women and men who died out within months, amongst them friends and acquaintances of Elisabeth Lebovici, Dennis Cooper, Sarah Schulman, Eileen Myles, A.L. Steiner, art and activism, the rise of queer studies in American Universities, and the violence of gentrification in New York, shattering the world of young Nicole Eisenman.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Jean-Philippe Bretin | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Ryan McNamara | Contributions • Kathy Acker, Isabelle Alfonsi, Julia Bryan-Wilson, Martin Duberman, Camille Cornu, le collectif De-Evolutionary Times, le collectif Dirty Looks, Claire Finch, Allen Ginsberg, Mathilde Helleu, Yves-Alexandre Jaquier, Alice Gavin, Émeline Jaret, Eileen Myles, Émilie Notéris, Craig Owens, Charles Recoursé, Adrienne Rich, Jérôme Schmidt, Gaëtan Thomas, Nicola Tyson, Nicholas de Villiers, Clotilde Viannay, Zoe Whittall et Etaïnn Zwer, A2/act up Paris, Judith Barry, Victor Burgin, Dennis Cooper, Colab, Howard Cruse, Nicole Eisenman, fierce pussy, Leonard Fink & S.T.A.R, Romain Lamy, Félicité Landrivon, Ryan McNamara, Tom Rubnitz, Wanda Rivière & Louise Siffert, Leon Sadler, John Sloan, A. L. Steiner, Sammy Stein, Amy Sillman, Philippe Thomas, Nicola Tyson, Mary Kelly, Sylvia Kolbowski, Melek Zertal.
WATCHMEN
PALAIS DE TOKYO | 2011


WHO WATCH THE WATCHMEN • installation
Journal NYT fictif, sculptures, tableau impression sur soie, série de print, vidéo
Projet de fiction uchronique qui se construit autour du comics culte d’Alan Moore The Watchmen. Sous la forme d’articles de presse (politique, économique, société, sport, art, architecture, musique) ce New York Times fictif revisite l’histoire du monde avec en postulat de départ : en quoi le monde changerait s’il existait un seul et unique homme pourvu de super-pouvoirs ?
L’histoire des Watchmen se déroule en 1985, dans une uchronie où des super-héros ayant cessé leur activité de justiciers semblent disparaître un à un, alors que la Troisième Guerre mondiale menace d’éclater à tout moment avec le bloc de l’Est. L’apparition en 1959 du Dr. Manhattan, un surhomme doté de pouvoirs en faisant presque l’égal d’un dieu, a modifié l’histoire que nous connaissons : les États-Unis ont gagné la guerre du Viêt-Nam, le scandale du Watergate a été étouffé, le pétrole n’est plus une des principales sources d’énergie, et Richard Nixon est toujours président en 1985.
W | NEW YORK TIMES UCHRONIQUE • vue d’exposition
sculpture, impression sous rotatives | 331,5 × 540,9 mm | 12 p. | n&b | 1 500 exemplaires | Photo • Fabrice Gousset.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Thomas Bizzarri | Traduction vers l’américain • Jonathan von Zelowitz & Philippe Aronson | Contributions • François Delvoye, Robert Juan-Cantavella, Jacques Barbéri, Oliver Rohe, Maud Assila, Eloy Fernández Porta, Philippe Vasset, Caroline Soyez-Petithomme, Julien Fronsacq, Philippe Berneur, Jill Gasparina, Ariel Kyrou, Émilie Notéris, Julien Millanvoye, Philippe Aronson, Nicolas Richard, Thomas Pynchon, Renaud Pasquier, Mathieu Andrieu, Florence Ostende, Mathieu Larnaudie, Yves Ramonet, Lila Pinell, Frédéric Hallier, Audrey Prudhomme, Raphaël Garnier, Gaëlle Boucand, Aline Zalko, Maxime Zoffoli, Yann Legendre, Mathieu Andrieu, Joan Braun & Ward Ivan Rafik, Jagna Ciuchta.
Module du palais de Tokyo, invitation de Julien Fronsacq.
TÊTE DE DR MANHATTAN, silicone peint, verre, velour, socle en bois, vitrine ancienne, 2011.
COMÉDIEN, DATE INCONNUE, masque en osier dans sa boite sous vitrine, 2011.
Journal NYT fictif, sculptures, tableau impression sur soie, série de print, vidéo
Projet de fiction uchronique qui se construit autour du comics culte d’Alan Moore The Watchmen. Sous la forme d’articles de presse (politique, économique, société, sport, art, architecture, musique) ce New York Times fictif revisite l’histoire du monde avec en postulat de départ : en quoi le monde changerait s’il existait un seul et unique homme pourvu de super-pouvoirs ?
L’histoire des Watchmen se déroule en 1985, dans une uchronie où des super-héros ayant cessé leur activité de justiciers semblent disparaître un à un, alors que la Troisième Guerre mondiale menace d’éclater à tout moment avec le bloc de l’Est. L’apparition en 1959 du Dr. Manhattan, un surhomme doté de pouvoirs en faisant presque l’égal d’un dieu, a modifié l’histoire que nous connaissons : les États-Unis ont gagné la guerre du Viêt-Nam, le scandale du Watergate a été étouffé, le pétrole n’est plus une des principales sources d’énergie, et Richard Nixon est toujours président en 1985.
W | NEW YORK TIMES UCHRONIQUE • vue d’exposition
sculpture, impression sous rotatives | 331,5 × 540,9 mm | 12 p. | n&b | 1 500 exemplaires | Photo • Fabrice Gousset.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Thomas Bizzarri | Traduction vers l’américain • Jonathan von Zelowitz & Philippe Aronson | Contributions • François Delvoye, Robert Juan-Cantavella, Jacques Barbéri, Oliver Rohe, Maud Assila, Eloy Fernández Porta, Philippe Vasset, Caroline Soyez-Petithomme, Julien Fronsacq, Philippe Berneur, Jill Gasparina, Ariel Kyrou, Émilie Notéris, Julien Millanvoye, Philippe Aronson, Nicolas Richard, Thomas Pynchon, Renaud Pasquier, Mathieu Andrieu, Florence Ostende, Mathieu Larnaudie, Yves Ramonet, Lila Pinell, Frédéric Hallier, Audrey Prudhomme, Raphaël Garnier, Gaëlle Boucand, Aline Zalko, Maxime Zoffoli, Yann Legendre, Mathieu Andrieu, Joan Braun & Ward Ivan Rafik, Jagna Ciuchta.
Module du palais de Tokyo, invitation de Julien Fronsacq.
TÊTE DE DR MANHATTAN, silicone peint, verre, velour, socle en bois, vitrine ancienne, 2011.
COMÉDIEN, DATE INCONNUE, masque en osier dans sa boite sous vitrine, 2011.
WATCHMEN
PALAIS DE TOKYO | 2011








WATCHMEN
PALAIS DE TOKYO | 2011



ADOPTE UN AMI, 2'50 couleur avec son (loop), animation, transfert sur DVD, 2011.
RORSCHACH FOSSILISÉ, crâne en plâtre, Mars Mud séché, yeux en plastique, vitrine, socle en bois, 2011.
MASQUE FRAGMENTAIRE DU HIBOU, fragment d'un masque de la guerre 1914-18, socle, 2011.
MASQUE FRAGMENTAIRE DU HIBOU, fragment d'un masque de la guerre 1914-18, socle, 2011.
MINI N°1
2017





LES INCROYABLE A. DELLA NEGRA & K. KINOSHITA • livre
92 × 170 mm | 124 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
La collection Les mini est le prolongement naturel de la revue L’Incroyable. Chaque livre se plonge dans la jeunesse d’artistes à travers un entretien autour de leur adolescence.
La réalisatrice Kaori Kinoshita fait le récit des changements sociétaux qu’a connus le Japon dans les années 1990, des traditions ancestrales à la modernité technologique, de la pleine croissance à la bulle spéculative, provoquant un sentiment de ce qu’elle nomme « une solitude contemporaine » chez nombre de Japonais de sa génération. En 1973, les parents d’Alain Della Negra décident de couper avec la vie parisienne alors qu’il est âgé de deux ans pour vivre en autarcie dans une communauté Steiner créée avec d’autres familles à la Mhotte. La mission dont ses parents se sentent investis les occupe à plein temps et le jeune homme se construit avec une bande d’amis, joyeux trouble-fêtes de la vie tranquille du village.
92 × 170 mm | 124 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Extrait de l’entretien avec Alain Della Negra • https://www.calameo.com/books/0063437657253a78c8d7d
Extrait de l’entretien avec Kaori Kinoshita • https://www.calameo.com/books/0063437659d7d0f511a86
Extrait de l’entretien avec Alain Della Negra • https://www.calameo.com/books/0063437657253a78c8d7d
Extrait de l’entretien avec Kaori Kinoshita • https://www.calameo.com/books/0063437659d7d0f511a86
La collection Les mini est le prolongement naturel de la revue L’Incroyable. Chaque livre se plonge dans la jeunesse d’artistes à travers un entretien autour de leur adolescence.
La réalisatrice Kaori Kinoshita fait le récit des changements sociétaux qu’a connus le Japon dans les années 1990, des traditions ancestrales à la modernité technologique, de la pleine croissance à la bulle spéculative, provoquant un sentiment de ce qu’elle nomme « une solitude contemporaine » chez nombre de Japonais de sa génération. En 1973, les parents d’Alain Della Negra décident de couper avec la vie parisienne alors qu’il est âgé de deux ans pour vivre en autarcie dans une communauté Steiner créée avec d’autres familles à la Mhotte. La mission dont ses parents se sentent investis les occupe à plein temps et le jeune homme se construit avec une bande d’amis, joyeux trouble-fêtes de la vie tranquille du village.
Entretiens • Clotilde Viannay | Préface • Philippe Vasset | Maquette originale • groupe CCC | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Images • pp.30-31, 72-73 © Alain Della Negra & Kaori Kinoshita et p.53 © Simon Pasieka
REVUE L’INCROYABLE N°2
2016











L’INCROYABLE JIM SHAW • revue collective
190 mm x 260 mm | 168 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
L’incroyable n°2 change de décor et part aux États-Unis de 1960 à 1976 avec Jim Shaw. L’artiste américain grandit dans le Michigan dans les années 1960. L’Amérique est très conservatrice. L’accomplissement de l’homme passe par l’argent, sa voiture et son costume trois pièces. Les femmes s’occupent du foyer. Les communautés hippies représentent une alternative pour les jeunes qui entrevoient toute la frustration des vies étriquées de leurs parents. Pour les garçons la peur de la guerre du Vietnam motive aussi l’envie de fuguer. Certains n’ont pas quatorze ans lorsqu’ils partent en Californie. Ces communautés hippies sont elle aussi très patriarcales, des hommes un peu «gourou» les dirigent et s’entourent d’un harem de jeunes filles sous prétexte d’amour libre. Les femmes nettoient, préparent la nourriture et élèvent les enfants tout comme le faisaient leurs mères. Mais ces jeunes vivent dans la nature, cultivent leur propre nourriture et expérimentent le LSD et l’héroïne. Ces drogues sont des chocs perceptifs qui vont emmener certains à la révolution artistique qu’est la contre-culture, d’autres s’y perdront quelques temps et rejoindront les premières sectes évangélistes qui apparaissent à l’époque. Ils renoueront avec leur éducation religieuse d’enfance pour renaître nouveau chrétien (Born Again) avant de devenir comme leurs parents.
190 mm x 260 mm | 168 p. | diff : presses du réel | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Entretien avec Jim Shaw • https://www.calameo.com/books/006343765bb55ecf57b53
Entretien avec Jim Shaw • https://www.calameo.com/books/006343765bb55ecf57b53
L’incroyable n°2 change de décor et part aux États-Unis de 1960 à 1976 avec Jim Shaw. L’artiste américain grandit dans le Michigan dans les années 1960. L’Amérique est très conservatrice. L’accomplissement de l’homme passe par l’argent, sa voiture et son costume trois pièces. Les femmes s’occupent du foyer. Les communautés hippies représentent une alternative pour les jeunes qui entrevoient toute la frustration des vies étriquées de leurs parents. Pour les garçons la peur de la guerre du Vietnam motive aussi l’envie de fuguer. Certains n’ont pas quatorze ans lorsqu’ils partent en Californie. Ces communautés hippies sont elle aussi très patriarcales, des hommes un peu «gourou» les dirigent et s’entourent d’un harem de jeunes filles sous prétexte d’amour libre. Les femmes nettoient, préparent la nourriture et élèvent les enfants tout comme le faisaient leurs mères. Mais ces jeunes vivent dans la nature, cultivent leur propre nourriture et expérimentent le LSD et l’héroïne. Ces drogues sont des chocs perceptifs qui vont emmener certains à la révolution artistique qu’est la contre-culture, d’autres s’y perdront quelques temps et rejoindront les premières sectes évangélistes qui apparaissent à l’époque. Ils renoueront avec leur éducation religieuse d’enfance pour renaître nouveau chrétien (Born Again) avant de devenir comme leurs parents.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Thomas Bizzarri assisté par My-Lan Hoang-Thuy | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Mathilde Agius | Contributions • Philippe Aronson, Jacques Barbéri et Yves Ramonet, Claire Barliant, Laura Ben Hayoun, Mathieu Buard, Robert Buchard, Laurent Courau, Michel Croce Spinelli et Michel Parbot, Jill Gasparina, Étienne Greig, Doug Harvey, Yves-Alexandre Jaquier, Cary Loren, Alex Mar, Robert Somma, Philippe Vasset, Clotilde Viannay, Mathilde Agius, Bertrand Dezoteux, Joan Braun, Golgotha, groupe CCC - Alice Gavin et Valentin Bigel et les élèves du DSAA mode - image, média et éditoriales de l’école Duperré, Jérémy Piningre, Jim Shaw et Pierre Vanni.
ZONE TERMINALE
MGCP | 2010





ZONE TERMINALE • installation
Environnement pour escargots | Escargots, wall painting, terreau, gravier, rochers, arbres morts, parpaings, plantes, trains électriques, circuit, bois, vidéos, dimensions variables.
Film • texte déroulant © Émilie Notéris.
Cette pièce montre comment la nature, les discours politiques et la société sont des sphères qui interagissent ensemble sur le territoire. Rompant avec la linéarité engendrée par une métrique où chaque point est hiérarchisé dans un rapport subordonné aux autres, les sphères permettent de lier ensemble local et global, humains et non-humains, nature et politique... Parce qu'elles dépassent le point de subjectivité que l'éthologue Jacob Von Uexkull utilisait, notamment en étudiant le monde des gastéropodes, pour décrire le passage d'un monde objectif, à un monde subjectif, les sphères confondent l'entourage et le milieu dans une même image du territoire.
Dans le terrarium les escargots se révoltent. Le mollusque a une vie dangereuse, ses prédateurs sont nombreux. Croqué par des petits rongeurs, écrasé par des hommes ou asphyxié par les pluies et les terres polluées, son espérance de vie est courte. C'est devant une bannière aux couleurs du communisme que le gastéropode se lance à la conquête de son monde.
• Zone terminale, diptyque vidéo (7’18), Thriller pour escargot qui met en scène l’escargot dans des scènes d’amour, de substentations et de drame au moment de la rencontre avec un hérisson affamé. Ce film a été réalisé à la vision du gastéropode : en n&b, flouté et ralenti par 6. Texte de l’autrice Emilie Notéris.
Water Walk, exposition collective, invitation de Martine Michard, Maison des Arts Georges et Claude Pompidou 2010.
Environnement pour escargots | Escargots, wall painting, terreau, gravier, rochers, arbres morts, parpaings, plantes, trains électriques, circuit, bois, vidéos, dimensions variables.
Film • texte déroulant © Émilie Notéris.
Cette pièce montre comment la nature, les discours politiques et la société sont des sphères qui interagissent ensemble sur le territoire. Rompant avec la linéarité engendrée par une métrique où chaque point est hiérarchisé dans un rapport subordonné aux autres, les sphères permettent de lier ensemble local et global, humains et non-humains, nature et politique... Parce qu'elles dépassent le point de subjectivité que l'éthologue Jacob Von Uexkull utilisait, notamment en étudiant le monde des gastéropodes, pour décrire le passage d'un monde objectif, à un monde subjectif, les sphères confondent l'entourage et le milieu dans une même image du territoire.
Dans le terrarium les escargots se révoltent. Le mollusque a une vie dangereuse, ses prédateurs sont nombreux. Croqué par des petits rongeurs, écrasé par des hommes ou asphyxié par les pluies et les terres polluées, son espérance de vie est courte. C'est devant une bannière aux couleurs du communisme que le gastéropode se lance à la conquête de son monde.
• Zone terminale, diptyque vidéo (7’18), Thriller pour escargot qui met en scène l’escargot dans des scènes d’amour, de substentations et de drame au moment de la rencontre avec un hérisson affamé. Ce film a été réalisé à la vision du gastéropode : en n&b, flouté et ralenti par 6. Texte de l’autrice Emilie Notéris.
Water Walk, exposition collective, invitation de Martine Michard, Maison des Arts Georges et Claude Pompidou 2010.
CELUI QUI EST NÉ HIER...
PRINTEMPS DE SEPTEMBRE | 2004














CELUI QUI EST NÉ HIER MEURT AUJOURD’HUI • installation
Imprimante, système informatique, socle, 2 147 prints couleurs.
Cette pièce tente d'exhumer les 2 147 objets mésopotamiens du musée archéologique de Bagdad disparus ou détruits lors de la seconde guerre en Irak (objets répertoriés par Interpol en septembre 2004). Une imprimante posée sur un socle imprime toutes les 1'46 les images des objets au recto et leur descriptif au verso. Les feuilles tombent ensuite sur le sol. Chacune des oeuvres est imprimée une fois, au bout de 3 793 minutes l'action fait place à un silence.
Ce projet a été réalisé avec l’aide de George Donny, directeur du musée de Bagdad, John Simmons, représentant américain à la reconstruction du musée, Interpol et le FBI.
Commande du centre national des arts plastiques, Paris.
In Extremis, Printemps de Septembre, Toulouse, invitation de Jean-Marc Bustamante & Pascal Picque.
Imprimante, système informatique, socle, 2 147 prints couleurs.
Cette pièce tente d'exhumer les 2 147 objets mésopotamiens du musée archéologique de Bagdad disparus ou détruits lors de la seconde guerre en Irak (objets répertoriés par Interpol en septembre 2004). Une imprimante posée sur un socle imprime toutes les 1'46 les images des objets au recto et leur descriptif au verso. Les feuilles tombent ensuite sur le sol. Chacune des oeuvres est imprimée une fois, au bout de 3 793 minutes l'action fait place à un silence.
Ce projet a été réalisé avec l’aide de George Donny, directeur du musée de Bagdad, John Simmons, représentant américain à la reconstruction du musée, Interpol et le FBI.
Commande du centre national des arts plastiques, Paris.
In Extremis, Printemps de Septembre, Toulouse, invitation de Jean-Marc Bustamante & Pascal Picque.
LA NOUVELLE ASCHGABAT
LA FORCE DE L’ART | 2006




LA NOUVELLE ASCHGABAT • installation
Plan dessiné tiré sur papier affiche marouflé au mur (500 × 250 cm), 6 impressions n&b de représentations 3D d'architectures d'Ashgabat posés sur aluminium (60 × 46cm / 100 × 46cm), photo montage encadré (180 × 100cm), table basse, livres, ordinateur, repose-pieds, TV, interview TF1 (40'), lecteur DVD , étagères, Flyers.
Dessins 3D • © Mathieu Andrieu.
Le projet La nouvelle Ashgabat dresse les contours de l'Ashgabat contemporaine. Ashgabat — la capitale du Turkménistan — a subi en octobre 1948 un tremblement de terre dévastateur qui a détruit la plupart des édifices. La phase de reconstruction de la ville, réalisée selon des conceptions urbanistiques modernes, rejoint en fait l'archétype d'une ville soviétique. La capitale turkmène est devenue un parc à thème stalinien, avec ses palais présidentiels, ses sculptures à la gloire du dictateur et sa poignée d'hôtels de luxe. Ce dispositif fait état des importants enjeux économiques internationaux qui se jouent autour de cette reconstruction. Les pays occidentaux n'hésitent pas à pactiser avec Saparmourat Niyazov, le cruel dictateur du Turkménistan, pour aider la signature de gros contrats. En 1996, le PDG de TF1 et le PDG de Bouygues Construction mettent en scène un simulacre d'émission, afin de conclure de gros contrats entre Saparmourat Niyazov et quatre entreprises françaises. Jean-Claude Narcy, journaliste de TF1, y interviewe le président turkmène et les quatre dirigeants français, sur un plateau monté pour l'occasion. Ne correspondant à aucune émission existante, cette fausse couverture médiatique a été diffusée en boucle pendant plusieurs mois sur les chaînes turkmènes, à la gloire de Saparmourat Niyazov, « l'homme adulé par le monde entier ». En France, la cassette restera dans les tiroirs de TF1, mais aura permis de concrétiser d'énormes contrats avec les entreprises associés à cette mise en scène médiatique.
La Force de l'Art, exposition collective, invitation de Hou Hanrou, Le Grand Palais, 2006.
Plan dessiné tiré sur papier affiche marouflé au mur (500 × 250 cm), 6 impressions n&b de représentations 3D d'architectures d'Ashgabat posés sur aluminium (60 × 46cm / 100 × 46cm), photo montage encadré (180 × 100cm), table basse, livres, ordinateur, repose-pieds, TV, interview TF1 (40'), lecteur DVD , étagères, Flyers.
Dessins 3D • © Mathieu Andrieu.
Le projet La nouvelle Ashgabat dresse les contours de l'Ashgabat contemporaine. Ashgabat — la capitale du Turkménistan — a subi en octobre 1948 un tremblement de terre dévastateur qui a détruit la plupart des édifices. La phase de reconstruction de la ville, réalisée selon des conceptions urbanistiques modernes, rejoint en fait l'archétype d'une ville soviétique. La capitale turkmène est devenue un parc à thème stalinien, avec ses palais présidentiels, ses sculptures à la gloire du dictateur et sa poignée d'hôtels de luxe. Ce dispositif fait état des importants enjeux économiques internationaux qui se jouent autour de cette reconstruction. Les pays occidentaux n'hésitent pas à pactiser avec Saparmourat Niyazov, le cruel dictateur du Turkménistan, pour aider la signature de gros contrats. En 1996, le PDG de TF1 et le PDG de Bouygues Construction mettent en scène un simulacre d'émission, afin de conclure de gros contrats entre Saparmourat Niyazov et quatre entreprises françaises. Jean-Claude Narcy, journaliste de TF1, y interviewe le président turkmène et les quatre dirigeants français, sur un plateau monté pour l'occasion. Ne correspondant à aucune émission existante, cette fausse couverture médiatique a été diffusée en boucle pendant plusieurs mois sur les chaînes turkmènes, à la gloire de Saparmourat Niyazov, « l'homme adulé par le monde entier ». En France, la cassette restera dans les tiroirs de TF1, mais aura permis de concrétiser d'énormes contrats avec les entreprises associés à cette mise en scène médiatique.
La Force de l'Art, exposition collective, invitation de Hou Hanrou, Le Grand Palais, 2006.
LA NOUVELLE ASCHGABAT
LA FORCE DE L’ART | 2006









Document vidéo, simulacre d’émission de TF1 animée par Jean-Claude Narcy avec le dictateur du Turkménistan, Martin Bouygues, Patrick Le Lay (TF1), Pierre Gadonneix (GDF) et Jacques Rocher-Machart (EDF).
RUHNAMA, livre écrit par Saparmourat Niyazov, l’ancien président du Turkménistan aujourd’hui décédé, dans l’installation 4 exemplaires en 5 versions sont disponibles : turkmène, français, anglais, allemand et turque.
REVUE L’INCROYABLE N°1
2015









L’INCROYABLE JULIETTE GRÉCO • revue collective
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
233 x 299 mm | 128 p. | diff : pollen | un projet éditorial de Clotilde Viannay, éd. l’incroyable
€€€ • http://lincroyable-magazine.com/ • €€€
Entretien avec Juliette Gréco • https://www.calameo.com/books/0063437650aff6d8e74ef
Entretien avec Juliette Gréco • https://www.calameo.com/books/0063437650aff6d8e74ef
L’incroyable n°1 fait le récit de la jeunesse de Juliette Gréco du temps des existentialistes. A 16 ans elle est relâchée de Fresnes où elle était emprisonnée par la Gestapo et se retrouve livrée à elle-même à Saint-Germain-des-Prés. Elle y rencontre Marguerite Duras, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Boris Vian qui vont devenir sa famille. En 1944 au moment de la libération de Paris, des milliers de jeunes gens se retrouvent dans ce minuscule quartier parisien, les historiens disent d’eux qu’ils sont la première génération adolescente. La guerre a eu son lot d’atrocités et les règles de la bonne bourgeoisie de leurs parents n’ont plus de sens. Ils se plongent alors dans la philosophie, la poésie et l’art pour tenter de redonner de la substance à leur existence car il faut bien continuer à vivre. Ce sont les existentialistes.
Rédactrice en chef • Clotilde Viannay | Maquette originale • Raphaël Garnier | Secrétaire de rédaction • Mathilde Helleu | Photo shoot • © Philippe Jarrigeon | Contributions •
Philippe Aronson, Maud Assila, Jacques Barbéri, Anne-Marie Cazalis et Jacques Robert, Jill Gasparina, Juliette Gréco, Frédéric Joignot, Axelle Montrieux, Smaranda Olcèse, Victoire Orwar, Lila Pinell et Chloé Maillet, Yves Ramonet, Jérôme Schmidt, Clotilde Viannay, Boris Vian,Jean André, Renan Astier, Joan Braun, Marc Domage, Georges Dudognon, Golgotha, Viktor Hachmang, Philippe Jarrigeon et Aline Zalko
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CITY WALK
MGCP | 2010

CITY WALK • installation
fusil de chasse, planches de contreplaqué découpées, pierres, 2 vidéos en boucle, moniteurs, 3 m 30 × 1 m 80
Deux moniteurs sont posés côte à côte. Ils font face à un fusil de chasse menaçant placé en position de tir. Sur le premier écran, le dessin d’un motel américain appelé The City Walk Motel sert de décor défraîchi à une scène de fiction. Sur le deuxième, le néon du motel clignote. L’histoire se déroule dans les bas-fonds d’Hollywood Boulevard. L’image du motel est accompagnée de sons de voitures, de sirènes de police, d’amants qui s’aiment en cachette, de camés et de coups de feu tirés. Dans son livre Lieu commun Bruce Bégout décrit cette nouvelle forme de vie urbaine, qui est celle de l’homme du motel américain, comme une vie d’extrême mobilité, d’errance, de pauvreté et de plaisirs interdits. Le motel est un espace que la société a voulu rationaliser à l’extrême. Notamment à travers la normalisation d’une architecture qui se répète par dizaines de milliers sur le territoire américain. Pourtant c’est justement l’inverse qui s’y passe. Cette neutralité excessive, associée à des emplacements géographiques en marge de l’activité sociale et économique de la ville, y fait naître des comportements irrationnels, impulsifs et clandestins.
fusil de chasse, planches de contreplaqué découpées, pierres, 2 vidéos en boucle, moniteurs, 3 m 30 × 1 m 80
Deux moniteurs sont posés côte à côte. Ils font face à un fusil de chasse menaçant placé en position de tir. Sur le premier écran, le dessin d’un motel américain appelé The City Walk Motel sert de décor défraîchi à une scène de fiction. Sur le deuxième, le néon du motel clignote. L’histoire se déroule dans les bas-fonds d’Hollywood Boulevard. L’image du motel est accompagnée de sons de voitures, de sirènes de police, d’amants qui s’aiment en cachette, de camés et de coups de feu tirés. Dans son livre Lieu commun Bruce Bégout décrit cette nouvelle forme de vie urbaine, qui est celle de l’homme du motel américain, comme une vie d’extrême mobilité, d’errance, de pauvreté et de plaisirs interdits. Le motel est un espace que la société a voulu rationaliser à l’extrême. Notamment à travers la normalisation d’une architecture qui se répète par dizaines de milliers sur le territoire américain. Pourtant c’est justement l’inverse qui s’y passe. Cette neutralité excessive, associée à des emplacements géographiques en marge de l’activité sociale et économique de la ville, y fait naître des comportements irrationnels, impulsifs et clandestins.
L’INCROYABLE LAURENT LE DEUNFF
2021















L’INCROYABLE LAURENT LE DEUNFF • Livre portrait
240 mm x 295 mm | 192 pages | couverture souple | dos carré cousu collé
Un livre-portrait sur l’artiste et ami Laurent Le Deunff par Clotilde Viannay, composé d’une série d’entretiens avec les artistes Laurent Le Deunff, Michel Blazy, Stéphanie Cherpin et Louis Gary, le cinéaste Jean-Marc Chapoulie, le philosophe Alexandre Costanzo. L’ouvrage est illustré d’oeuvres de Laurent Le Deunff, de photographies de famille et de quelques oeuvres de ses ami.e.s invité·e.s.
Distribution/diffusion : Les presses du réel
240 mm x 295 mm | 192 pages | couverture souple | dos carré cousu collé
Un livre-portrait sur l’artiste et ami Laurent Le Deunff par Clotilde Viannay, composé d’une série d’entretiens avec les artistes Laurent Le Deunff, Michel Blazy, Stéphanie Cherpin et Louis Gary, le cinéaste Jean-Marc Chapoulie, le philosophe Alexandre Costanzo. L’ouvrage est illustré d’oeuvres de Laurent Le Deunff, de photographies de famille et de quelques oeuvres de ses ami.e.s invité·e.s.
Distribution/diffusion : Les presses du réel
LADY DI AT THE MOUNTAIN
BETONSALON | 2006

Carte (210~120 cm), affiche (120~ 80 cm), disque vinyle, tourne-disque, vid.o (3’),
TV, livre, étagères.
L’information, quels que soient les supports de sa diffusion, est avant tout perceptible
comme un récit, comme une narration. Clotilde Viannay par la présentation que ses installations opérent de ressources documentaires, réagence les éléments par lesquels ce récit se transmet, et redistribue les conditions d’intelligibilité de sa narration. Lady Di at the Mountain se présente comme un dispositif stratégique, captant divers formes de documents — divers instruments de propagation —, relatifs à un évènement mineur survenu en Asie Centrale. L’installation instruit ainsi la possibilité de la relecture de l’évènement à travers une multiplicité de points de vue qui en reflétent la complexité.
TERRITOIRE
2010

RAINBOW SUBHEROES
APPARTEMENT | 2013


COSMOLOGIE DE LA CELLULE • sculptures
Loupe, impression couleur sur papier lambda d’un dessin provenant du catalogue de l’exposition « Les Immatériaux » (Jean-François Lyotard, 1985) et loupe ancienne sur pied, socle, 2013.
Loupe, impression couleur sur papier lambda d’un dessin provenant du catalogue de l’exposition « Les Immatériaux » (Jean-François Lyotard, 1985) et loupe ancienne sur pied, socle, 2013.
Ensemble faisant partie de la série des Watchmen
WATCHMEN
PALAIS DE TOKYO | 2011

SAUT DE PUCE • peinture
Impression par sublimation sur soie, encadrement, 109 × 109 cm, 2011.
Peinture qui appartient à la série des Watchmen
Sous le principe de la carte stratégique militaire, cette carte retrace les déplacements dans New York des héros des Watchmen.
Impression par sublimation sur soie, encadrement, 109 × 109 cm, 2011.
Peinture qui appartient à la série des Watchmen
Sous le principe de la carte stratégique militaire, cette carte retrace les déplacements dans New York des héros des Watchmen.
WATCHMEN
APPARTEMENT | 2013

GRENOUILLE COSMIQUE SUR UNIVERS CARRÉ • sculpture
plâtre, feuille d’argent, cube en plexiglace, carton peint à la bombe. 15 x 10 x 10 cm, 2013.
TÊTE DE HIBOU • sculpture
plâtre, feuille de bronze, socle, 2011
Ensemble qui appartient à la série des Watchmen
Exposition personnelle à Appartement, invitation de Martine Miltat & Damîen Bertelle-Rogier, Paris.
plâtre, feuille d’argent, cube en plexiglace, carton peint à la bombe. 15 x 10 x 10 cm, 2013.
TÊTE DE HIBOU • sculpture
plâtre, feuille de bronze, socle, 2011
Ensemble qui appartient à la série des Watchmen
Exposition personnelle à Appartement, invitation de Martine Miltat & Damîen Bertelle-Rogier, Paris.
Sous le principe de la carte stratégique militaire, cette carte retrace les déplacements dans New York des héros des Watchmen.
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WATCHMEN
APPARTEMENT | 2013






SÉRIE DE FAUSSES PUBLICATIONS • ensemble de livres et magazines retravaillés
Cahier de Robert Smithson • cahier, dessin à la minde de plomb, 2013
Ensemble de couvertures de magazines • photomontages, impressions numériques couleur, dimensions variables, 2013
American Heritage • exemplaire de la revue américaine American Heritage, dessin à la mine de plomb contrecollé, A4, 2013
Dictionnaire intergalactique • livre découpée et peint à la bombe, 15 x 10 cm, 2013.
Ensemble qui appartient à la série des Watchmen
Exposition personnelle à Appartement, invitation de Martine Miltat & Damîen Bertelle-Rogier, Paris.
Cahier de Robert Smithson • cahier, dessin à la minde de plomb, 2013
Ensemble de couvertures de magazines • photomontages, impressions numériques couleur, dimensions variables, 2013
American Heritage • exemplaire de la revue américaine American Heritage, dessin à la mine de plomb contrecollé, A4, 2013
Dictionnaire intergalactique • livre découpée et peint à la bombe, 15 x 10 cm, 2013.
Ensemble qui appartient à la série des Watchmen
Exposition personnelle à Appartement, invitation de Martine Miltat & Damîen Bertelle-Rogier, Paris.
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FRANCE: A SALE INVENTORY
FIELGATE GALLERY | 2008

FRANCE: A SALE INVENTORY • sculpture
Meuble sculpture à tiroirs, 8 000 fiches imprimées
En collaboration avec l’écrivain Philippe Vasset.
Les nations se comportent de plus en plus comme des entreprises : ils construisent leurs propres marques, gèrent leurs propres stocks et observent leurs cash-flows. France : a Sales Inventory pousse cette logique à l’extrême en créant un catalogue de tous les actifs que l’État français essaie de vendre, en armes, en franchises de musées, ou encore un surplus de céréales. Tout y passe. De nombreux mois de recherches ont été nécessaires pour inventorier ces informations économiques et politiques. On y retrouve la liste des actifs à vendre, les sommes d’argent, les contacts des vendeurs, leurs noms et rôles dans les affaires en cours, les pays et les entreprises acheteurs, etc.
Les produits à vendre sont rangés par secteur (militaire, les produits de l’agriculture, art et culture, produits immatériaux) et décrit en détail sur des fiches contenues dans une armoire métallique. Ceci est un lieu où les acheteurs potentiels peuvent se rencontrer.
Exposition collective organisée à la Fielgate Gallery à Londres, invitation de Caroline Soyez-Petithomme, Gallien Dejean et Mathieu Larnaudie.
Meuble sculpture à tiroirs, 8 000 fiches imprimées
En collaboration avec l’écrivain Philippe Vasset.
Les nations se comportent de plus en plus comme des entreprises : ils construisent leurs propres marques, gèrent leurs propres stocks et observent leurs cash-flows. France : a Sales Inventory pousse cette logique à l’extrême en créant un catalogue de tous les actifs que l’État français essaie de vendre, en armes, en franchises de musées, ou encore un surplus de céréales. Tout y passe. De nombreux mois de recherches ont été nécessaires pour inventorier ces informations économiques et politiques. On y retrouve la liste des actifs à vendre, les sommes d’argent, les contacts des vendeurs, leurs noms et rôles dans les affaires en cours, les pays et les entreprises acheteurs, etc.
Les produits à vendre sont rangés par secteur (militaire, les produits de l’agriculture, art et culture, produits immatériaux) et décrit en détail sur des fiches contenues dans une armoire métallique. Ceci est un lieu où les acheteurs potentiels peuvent se rencontrer.
Exposition collective organisée à la Fielgate Gallery à Londres, invitation de Caroline Soyez-Petithomme, Gallien Dejean et Mathieu Larnaudie.
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B—Moitessier
2008/2009 . Le territoire et ses représentations, un projet réalisé avec le sociologue Bruno Latour & l’anthropologue Stéphanie Vuillemin-Prudhomme, Sciences PO Paris, FR. Depuis 2018. Enseignement en art et culture générale à l’Université Gustave Eiffel en section design graphique (1er et 2e année). Depuis 2014. Enseignement en art et graphisme à l’ISEFAC Paris. 2020. Livre portrait de Laurent Le Deunff 2019. L’incroyable Nicole Eisenman 2017. La collection les « mini l’incroyable » : • 2017, n°1 – Les incroyables Alain Della Negra & Kaori Kinoshita, éd. L’incroyable • 2017, n°2 – Les incroyables Arnaud et Bertrand Dezoteux, éd. L’incroyable 2016. L’incroyable Jim Shaw n°2, éd. L’incroyable 2015. L’incroyable Juliette Gréco n°1, éd. L’incroyable 2013. KIOSKpaper, Éditions de l’art. 2011. Faux New York Times uchronique Depuis 2018. Série d’entretiens avec les adolescents d’un foyer pour jeunes à Barcelonnette pour un projet de livre dans le cadre d’une résidence au centre d’art Les Capucins que j’écris actuellement, invitée par Solenn Morel. 2019. Texte intruductif sur l’œuvre de Nicole Eisenman Entretien avec Nicole Eisenman Entretien avec Elisabeth Lebovici Entretien avec Laurent Le Deunff Entretien avec Yuichi Yokoyama Entretien avec Louis Gary Entretien avec Stéphanie Cherpin Entretien avec Jean-Marc Chapoulie et Alexandre Costanzo 2017. Entretien avec Alain Della Negra Entretien avec Kaori Kinoshita 2016. Texte intruductif sur l’œuvre de Jim Shaw Entretien avec Jim Shaw Entretien avec Tony Oursler Entretien avec Cary Loren Entretien avec Gilbert Shelton Entretien avec Richard Pinhas 2015. Entretien avec Juliette Gréco 2012. La revue Territoire 2040, avec Bruno Latour : entretiens avec dix chercheurs en sciences humains sur l’écologie et la souffrance spaciale dont : Hervé Le Bras, Jacques Levy, Michel Lussault. 2009. La revue Tina, éditions è®e. 2009. La revue Multitudes, éditions Amsterdam. 2020. Jury pour le DNSEP section art, HEAR, Strasbourg, FR. 2020. Workshop, cours en théorie de l’art sur Jim Shaw et Nicole Eisenman, HEAR, Strasbourg, FR. 2019. Conférence à l’école Duperré, Paris, FR. 2019. Jury à l’Institut supérieur des beaux-arts de Besançon pour le DNA, FR. 2018. Conférence à l’ESAAA, Annecy, FR. 2019. Jury pour le DNSEP, ESAAA, Annecy, FR. 2019. Jury pour le DNA, ESA, Dunkerque, FR. 2014. Conférence & workshop à l’école supérieure d’art Pays basque, Bayonne, FR. 2011. The Fat Moments, un projet de Franck Leibovici, Galerie La Vitrine, Paris, FR. 2008. Conférence à l’École des beaux-arts de Bourges, La Box. 2004. Conférence à l’École des beaux-arts de Toulouse. Expositions personnelles 2013. Subheroes Rainbow, Appartement, curateur Nathalie Miltat & Damîen Bertelle-Rogier, Paris, FR. 2011. W, Modules Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent, curateur Julien Fronsacq, Palais de Tokyo, Paris, FR. Expositions collectives (sélection) 2014. Carte blanche à la jeune photographie, curateur Christian Caujolle, la Samaritaine, Paris, FR. 2012. Des formes de vie, un projet de Franck Leibovici, Maison Rouge & Galerie Agnès b, FR. • 2012, Gazette Box, MZIN galerie, Leibzig, DE. • 2012, Les Copains d’abord, galerie la Vitrine am, Parcours VIP of the FIAC, invited by Marc-Olivier Walher, Paris, FR. • 2012, IBG2011 — Gdm, Galerie des Multiples, curateur Gaëlle Boucand & Francisca Würz, Paris, FR. 2010. Water Walk, Centre d’art contemporain de Cajarc, curateur Martine Michard, Cajarc, FR. • 2010, Ins Blickfeld Gerückt, Institut français de Berlin, curateur Gaëlle Boucand & Francisca Würz, Berlin, DE. 2008. Propagation, the Fieldgate gallery, curateur Gallien Dejean & Caroline Soyez-Petithomme, London, GB. 2006. La Force de l’Art, curateur Hou Hanru, le Grand Palais, Paris, FR. 2005. N7-S11, événement Ø, Bétonsalon, Paris, FR. 2005. International Photo Festival of Lianzhou, Museum of art to Lianzhou, Lianzhou, CN. 2004. In Extremis, Printemps de Septembre, curateur Jean-Marc Bustamante & Pascal Picque, Musée des abattoirs, Toulouse, FR. 2003. Countdown, curateur Jean-Marc Bustamante, ENSBA, Paris, FR. 2003. Stade de France, Fondazione Cultural Italo Svedese, Venice, IT. 2002. Signes de nuit, International Video Festival, Cinéma le Balzac, Paris, FR. 2002. Video fréquence II, Galerie la Vitrine, Paris, FR. 2018. Résidence et bourse de recherches au centre d’art les Capucins à Embrun, invitée par Solenn Morel. 2010. Résidence et bourse de production au centre d’art contemporain de Cajarc, invitée par Martine Michard. 2003. Résidence à la Fondazione Cultural Italo Svedese, Venice, IT. . 2019. Aide à l’édition, CNAP (Laurent Le Deunff) 2019. Aide à l’édition, CNAP (Nicole Eusenman) 2016. Aide à l’édition, CNAP (Alain Della Negra & Kaori Kinoshita) 2015. Aide exceptionnel aux revues de la région Îles-de-France. 2009. Soutien à la création, CNAP. 2006. Aide à la production d’une œuvre, Fond National d’Art Contemporain (FNAC). 2003. Grant Colin-Lefranc. Fond National d’Art Contemporain (FNAC) Presse écrite • 2017, magazine Vice, « L’adolescence de vos artistes préférés ne ressemble pas à la vôtre », itw par Romain Gonzalez • 2017, étapes magazine, itw par Isabelle Moisy, n°236 • 2017, Kiblind magazine, « L’incroyable magazine », par Maxime Gueugneau • 2016, Les inrocks, Les 5 revues indispensables pour comprendre l’art contemporain, 5 nov • 2016, Ent’revues, « L’incroyable n°2 : Jim Shaw », par Jérôme Duwa • 2015 Les inrocks, dans les brèves de Dafne Boggeri. 2015 • Sud Ouest, « L’Incroyable Juliette Gréco vue par Clotilde Viannay ». 2015 • Elle magazine, brève dans un dossier sur l’adolecence par Nathalie Dolivo. 2015 • Livres Hebdo, « Revue : adolescence sans crise », par Anne-Laure Walter. 2015 • Les clés de la presse, « Une nouvelle revue sur l’adolescence d’une personnalité », par Jessica Ibelaïdene. 2015 • Stack magazine, « Behind the scenes: L’Incroyable magazine », par Miranda Thompson. 2015 • Horizont, « Dis Cover der Woche», par David Heim. 2015 • It’s Nice That, « A spectacular new French mag about adolescence, L’INCROYABLE », par Liv Siddall. 2015 • Desktop mag, « New Parisian magazine on the trail of artistic adolescence », par Aidan Connolly. 2015 • Protein®, « Smells Like Teen Spirit ». 2015 • Typorn, « Raphaël Garnier on why L’Incro’s typography smells like teen spirit ». 2015 • JournalismLab, « Print is dead, Long Live Print. The World’s Best Independant Magazines ». 2015 • À bras le corps, « L’incroyable magazine », par Rodolphe Olcèse. • 2014 Connaissances des arts, dans les brèves de Dafne Boggeri. • 2013 toutelaculture.com, « La Vitrine de la rue de Richelieu : Les copains d’abord : le monde de l’art fait son exposition », par Smaranda Olcèse. • 2011 toutelaculture.com, « W, Clotilde Viannay met le Palais de Tokyo à l’heure de Watchmen », par Smaranda Olcèse. • 2005 Press release, « 1st International Photo Festival ». 2015 • L’Humanité, « Un festival de la photo parachutée à Lianzhou », par Magali Jauffrey. • 2004 L’Humanité, « Des photos qui viennent de l’art et y renvoie », Magali Jauffrey. The Times, « French Evolution ». 2015 • Lapiz, « Printemps de Septembre in Toulouse ». 2015 • Camera Austria, par Jörg Bader. 2015 • Blue Print. Presse radio • 2015 France culture, Les Carnets de la création, Aude Lavigne. 2015 • France culture, L’actualité des revues, André Chabin. 2015 • TSF Jazz, Les petits papiers de Laure Albernhe. 2015 • RCJ, le journal de 13h, Jonathan Siksou. 2015 • Fip radio, annonce du lancement de L’Incroyable de Jane Villenet. • 2004 France culture, Multipistes, Arnaud Laporte. 2004 • France culture, Radio libre, Jean Daive. 2004 • Le mouv’, interview à Toulouse devant mon œuvre.